
Le
Club des paranos.
Fondé par des citoyens
éclairés, et indépendant de toute
obédience politique, de toute appartenance religieuse, de
toute option philosophique et même de tout caractère
rationnel, le Club des paranos s'est donné pour tâche de
dénoncer avec indignation tout ce qui peut l'être. Il se
manifeste avec une véhémence particulière dans
le domaine culturel. Ses moyens d'action sont une surenchère
perpétuelle et un anticonformisme bêtasse.
Le cheval de bataille du Club des
paranos est le franglais. Le club des paranos est résolument
pour. Vers la page
SAUVONS LE FRANGLAIS.
Le Club des paranos s'active aussi
passablement dans le domaine de la bande dessinée, qui en a
bien besoin.Parmi ses actions les plus retentissantes, on
compte :
- Une campagne ayant pour but de
normaliser Ben Grimm, dit The Thing (La Chose), un personnage du
comic book The Fantastic Four qui n'est jamais dessiné deux
fois de la même façon.
- Une campagne pour obtenir le
classement de l'immeuble du 13, rue de l'Espoir, en banlieue
parisienne, siège d'un important comic strip
français qui paraissait dans France-Soir. Cliquez
ici pour lire ce tract hystérique.
- Une campagne pour obtenir la
traduction massive en français de bandes dessinées
japonaises pour filles (shôjo manga), supposées de
meilleure qualité que les bandes dessinées
franco-belges. Cliquez
ici.

- Une campagne contre les jeux
d'enfants, particulièrement d'actualité, à
l'heure actuelle, où tout ce qui touche à l'enfance
fait l'objet de débats fébriles. Après une
étude approfondie par des experts
auto-désignés, la conclusion du Club des paranos est
que TOUS les jeux d'enfants sont potentiellement dangereux, sauf
la ronde et le tricotin. Cliquez
ici.
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